Fable : The Lost Chapters

Il était une fois, à l’aube de l’année 2005, un RPG à l’ambition débordante. Développé par Lionhead et édité par Microsoft, Fable a suscité une énorme attente chez les amateurs du genre. Le concept initial était prometteur : Incarner un personnage, de sa naissance à sa mort, dont son évolution est directement liée à sa manière de vivre, et donc à votre manière de jouer. Certaines lignes directrices du concept original n’ont pas été retenues faute de budget, qui s’annonçait déjà pharaonique pour l’époque. Nous allons voir ensemble si ce jeu tronqué d’une partie de ses idées à souffert de cet état de fait. C’est parti !

 

Ce test a été réalisé en rétrocompatibilité sur Xbox 360 sur Fable premier du nom. Une réédition HD nommée Fable Anniversary est sortie en 2015 pour les dix ans de la série. Nous parlerons plus tard de cette ré-édition.

 

La trame prend place en Albion. L’aventure commence dès l’enfance, où l’on découvre notre héros batifolant dans le petit village d’Oakvale. C’est le jour de l’anniversaire de sa grande sœur, et, sur les conseils de votre père, vous vous mettez en quête d’un cadeau à lui offrir… L’histoire commence calmement, ce qui laisse le temps au joueur de se familiariser avec les commandes, bien qu’elles soient relativement abordables, mais aussi de prendre connaissance des nombreuses interactions possibles avec les PNJ.

Il vous est donc donné la liberté de vivre votre vie et de faire ce que vous voulez, entre bien et mal. Libre à vous, du haut de vos dix ans, de tabasser les gardes (… même si vous ne ferez quasiment aucun dégât) , ou plutôt d’aider les habitants du village dans le besoin, voire même un peu des deux ! Ceci étant dit, n’espérez pas une évolution drastique de votre héros à ce moment précis, il s’agit là plus d’une introduction à ce qui va venir par la suite : les raisons qui vous pousseront à rejoindre la guilde des héros. Je reste volontairement vague ici pour éviter de spoiler l’histoire à ceux qui n’auraient pas encore eu la chance d’y jouer.

Après avoir donc approché les interactions sociales à l’enfance, vous apprendrez les rudiments du combat à l’adolescence, à l’intérieur des murs de la guilde. Cet endroit sera comme votre deuxième maison, car c’est à la guilde qu’il faudra venir prendre la majorité de vos quêtes, ainsi que dépenser votre expérience. Pour finir l’apprentissage des armes, trois examens vous seront proposés pour les maniements des armes de mêlée, des arcs et de la magie.

Notez que si vous réalisez un score proche du maximum, l’examinateur vous récompensera avec des objets spéciaux. Un petit plus sympa pour débuter ! Côté histoire, notons que The Lost Chapters s’intègre à la suite de la quête principale, et se déroule agréablement, bien que le scénario soit prévisible et sans véritable surprise. Cette extension vous donne accès à plus de quêtes, de lieux, d’objets, de pouvoirs et de choix.

C’est alors votre vie d’adulte qui s’ouvre à vous. Une fois les épreuves terminées et vos dix-huit ans révolus, vous deviendrez véritablement libre d’aller où vous voulez, et de faire ce qu’il vous plait ! A partir de ce moment précis, chaque héros que vous jouerez sera unique, et évoluera selon vos habitudes en jeu. Utilisez beaucoup de magie, et votre personnage deviendra vieux plus rapidement. Battez vous sans armure, et vous verrez bientôt les cicatrices laissées par de nombreux combats.

Aidez les gens, et vous verrez bientôt une auréole au dessus de votre tête, ou bien laissez libre cours à vos plus bas instincts pour voir des cornes se mettre à pousser sur votre front, ainsi que vos yeux se teinter de rouge. Bien sûr, cette liste est non-exhaustive ; tout ce que vous faites est enregistré en tant que statistique par le jeu, que vous pouvez d’ailleurs consulter à tout moment. Ce sont ces statistiques que le jeu utilise pour faire évoluer votre personnage selon vos actions, même parfois les plus insignifiantes.

Parlons maintenant des quêtes, il en existe trois types : principale, secondaire et libre. Vous aurez deviné que la quête principale est celle qui fera avancer la trame scénaristique du jeu. Les quêtes secondaires sont optionnelles et offrent souvent un peu plus de liberté dans la façon de les mener à bien. Elles apparaissent parfois par paire. Je m’explique : un bandit va être mené à la potence pour payer de ses crimes. Vous aurez donc le choix entre tenter de délivrer le bandit du convoi de gardes l’escortant, ou bien protéger le convoi et les gardes pour que justice soit faite. Parfois, le côté manichéen de ce genre de quêtes peut être contourné par des initiatives tordues, comme délivrer le bandit pour mieux le tuer, une fois la récompense empochée.

Dépendant donc de votre volonté de faire le bien ou le mal, ou tout simplement par l’appât du gain, vous aurez donc l’embarras du choix. Notez que si la quête, qu’elle soit principale ou secondaire échoue, vous devrez la recommencer. Également, il est possible sur ces deux types de quêtes, de faire une esbroufe ; il s’agit de parier de l’argent sur certains aspects de la quête, qui vous rapporteront si vous réussissez votre pari. Vous pouvez par exemple, parier sur le fait que vous ferez la quête tout nu, en exterminant tout le monde, et sans prendre le moindre dégât. Chaque pari augmente la difficulté de la quête car vous devrez veiller à réussir les objectifs que vous vous engagez à réaliser.

C’est un point dont j’ai particulièrement abusé, et qui permet d’augmenter le challenge et l’intérêt porté à chaque quête, car le niveau de difficulté du jeu est quant à lui non-paramétrable ! La quête libre, que l’on peut plus considérer comme une quête au long cours, a des objectifs plus divers. Il s’agit parfois d’aider des villageois dans le besoin, d’escorter des marchands, ou bien de découvrir certains secrets de lieux particuliers. Évidemment, ce ne sont là encore que quelques exemples, mais soyez sûrs d’une chose : vous aurez besoin de parcourir le monde pour les mener à bien. Ces quêtes sont peut être celles qui vous donneront le plus de fil à retordre si, comme moi, vous souhaitez terminer le jeu à cent pour cent.

Certains ne manqueront pas de me signaler que je n’ai pas parlé de classe de personnage à choisir, et c’est tout simplement parce qu’il n’y en a pas ! Vous n’incarnez pas un guerrier, un archer ou un magicien, vous le devenez au fur et a mesure de ce que vous faites. C’est là où Fable a su se démarquer et proposer une aventure où chaque héros est unique. Cette idée a d’ailleurs été reprise dans Skyrim pour ne citer que lui.  Pour ma part, mon héros était classé comme « guerrier mystique », avant de devenir « mentaliste », avec un gameplay plutôt axé sorts et attaques de corps à corps. Libre à vous de découvrir au fil des parties, a quelle « classe » correspond votre façon de jouer. Le jeu est relativement facile à prendre en main, cependant, certaines mécaniques, de combat ou bien relationnelles avec les PNJ, demande un petit temps d’adaptation.

Fable se classe comme un Action RPG, comprenez par là que les combats sont en temps réel. Pour taper sur des affreux, l’idée est assez simple, une touche d’attaque au corps à corps, une touche d’attaque à distance, une touche qui lance un sort et une touche de parade. Rajoutez à cela des raccourcis personnalisables grâce à la gâchette droite, ce qui vous donne accès à toute votre palette de sorts, d’objets, ainsi que d’emotes favoris, et le tour est joué. Si vous êtes du genre à vous bourrer de bière au tofu en faisant du air-guitar, et en lançant des éclairs, vous pourrez donc y accéder en un clic ! La maniabilité générale du personnage est bonne, et les angles de caméra sont relativement bons, sans être forcément adaptés à certaines situations spécifiques.

Néanmoins, elle vous permet des angles intéressants pour suivre l’évolution de l’apparence de votre héros. Un système de lock liée à la gâchette gauche vous permet de verrouiller un personnage vous faisant face, ennemi ou non. Dès lors, il sera possible d’attaquer votre cible, même s’il s’agit d’un civil. Mais rappelez-vous, attention aux conséquences de vos actes ! Ce lock fonctionne avec toutes les attaques, corps-à-corps comme distant, et bien sûr également pour les sorts ciblés. A côté de cela, vous avez également la possibilité de passer en vue à la première personne en un clic afin de viser manuellement avec vos flèches. Sachez que dans certains cas, il est possible d’exécuter un ennemi, en tirant une flèche à pleine puissance et en visant la tête, mais ce n’est là qu’un exemple parmi d’autres.

Au niveau des combats, la difficulté est globalement linéaire au fil de la quête principale. Partant de ce principe, aucun combat n’est vraiment très original, ni même trop difficile pour se mettre à jurer comme un charretier. Cependant, il y a plusieurs points qui m’ont vite rendu les affrontements addictifs. Premièrement, dès que vous mettez une attaque au but, vous gagnez des points d’expérience pour l’attaque que vous venez de poser : Force pour une attaque au corps-à-corps, Agilité pour une attaque à distance, et Magie pour n’importe quel sort. Parallèlement à ça, chaque coup au but déclenche un Multiplicateur de combat. Le principe est simple : pour chaque attaque réussie, le multiplicateur augmente selon la quantité de dégâts posée. Si vous subissez des dégâts, le multiplicateur redescend drastiquement.

On se prend donc rapidement au jeu de maximiser son expérience, en essayant de recevoir le moins de baffes possibles. Une fois vos cibles à terre, vous pouvez récupérer l’expérience de chaque ennemi mort. Il s’agit là d’expérience globale pouvant être investie dans n’importe quelle compétence. Là encore, le multiplicateur intervient, pouvant donc vous récompenser grassement si vous avez mené votre combat d’une main de maître. J’ai particulièrement apprécié cette mécanique qui, si elle n’était pas là, aurait rendu les combats bien monotones. Au lieu de ça, je me suis retrouvé à jouer ma vie à chaque combat pour quelques points d’expérience supplémentaires. Notez toutefois que le bestiaire est relativement correct au niveau de la diversité, et que chaque type d’ennemi se bat à sa façon, et a ses forces et faiblesses propres.

Pour ce qui est des différentes attaques et pouvoirs déblocables avec les points d’expérience, vous aurez accès à des sorts actifs et passifs. Suivant les différents sorts que vous choisirez, le gameplay changera du tout au tout. En effet, certains sorts peuvent avoir une synergie avec d’autres. Plusieurs gameplays sont alors possibles, suivant les compétences que vous choisirez, et les combos que vous en retirerez peuvent être particulièrement dévastateurs ! Un excellent point selon moi, qui pousse a réfléchir à ce que l’on veut faire de son personnage, et qui permet une excellente rejouabilité sur ce titre.

Mais, Fable ne se résume pas qu’à un immense combat, loin de là. La richesse du gameplay se trouve aussi et surtout ailleurs. Il y a bon nombre de trésors à dénicher en Albion. Il suffit de savoir comment chercher, et les possibilités ne manquent pas. Le monde à explorer n’est pas gigantesque, bien que j’ai pu le trouver d’une taille relativement suffisante. L’Albion est divisé en régions, et certaines régions importantes sont découpées en plusieurs zones. Fable n’étant pas un monde ouvert, l’on devra s’acquitter d’un petit chargement pour passer d’une zone à l’autre. Rien de bien méchant. Le level design de Fable est, pour moi, un exemple à suivre pour les RPG non-ouverts.

Sans être très compliquées, chaque zone dispose de nombreux recoins et endroits plus ou moins cachés, ce qui vous demandera d’ouvrir l’œil en explorant les terres d’Albion. Car oui, l’exploration est une part non-négligeable du jeu, dans le sens où bon nombre de trésors sont nichés dans chaque zone, et que pour les trouver, il va falloir se creuser ! La pelle et la canne à pêche seront pour cela vos meilleurs alliés. Derniers gardiens de trésors divers, les portes démoniaques, vous proposeront énigmes et défis. Si vous trouvez comment satisfaire une porte démoniaque, elle vous laissera passer. Fait intéressant par ailleurs, chaque porte possède sa personnalité propre. Également, des clés d’argent sont à trouver, au nombre de trente, éparpillées à travers le monde, et vous permettront d’ouvrir des coffres spéciaux contenant de jolis trésors.

Entre deux voyages, pourquoi ne pas vous reposer en ville, commercer et exhiber vos trophées à la populace ? Le commerce est efficace et bien réalisé grâce à une interface simple et claire. Avec un peu de bon sens, il vous sera possible de faire fortune assez facilement. Rien ne vous empêchera donc d’investir alors vos deniers dans l’immobilier. Vous êtes un véritable étalon ? Rendez-vous au bordel de Darkwood et n’oubliez pas vos bourses ! Si votre côté roublard est aussi développé que celui de votre serviteur, pourquoi ne pas tenter de voler à l’étalage dans une boutique et de revendre tout au marchand? Il n’y verra que du feu !  Envie de planer ? Mettez vous en quête de ces mystérieux champignons bleus et de leurs effets psychotropes !

Vous serez également libre de passer votre vie à la taverne, de trouver l’âme sœur et de vous marier. Notez que la polygamie n’est pas interdite en Albion, mais pour trouver de la compagnie, il va falloir faire quelques efforts sur votre apparence et votre comportement. La renommée de votre héros influera sur la façon dont les PNJ vous perçoivent, mais également de votre alignement et de vos actes précédents. Un héros connu pour être le mal absolu aura bien du mal à charmer ses congénères s’ils s’enfuient de peur. Le comportement des PNJ fonctionne en fonction de deux facteurs : l’attirance suscitée (votre beauté) et la peur inspirée (l’effroi). Toutefois, la crainte et l’attirance ne sont pas les deux seules réactions des PNJ, qui peuvent également se moquer de vous si vous vous baladez en slip, vous féliciter pour vos récents hauts-faits, ou commenter votre mariage par exemple.

Les réactions des habitants prennent forme entièrement en temps réel, de par leurs mouvements, leurs saluts, mais aussi et surtout par leurs voix. Insultes, moqueries, compliments ou hurlements, une large palette de commentaires, souvent bourrés d’humour, achève de rendre le monde particulièrement vivant. Certes, au bout de vingt heures de jeu, on aura fait le tour d’une grande partie de ce qu’ils ont à raconter, mais la variété offerte est déjà particulièrement impressionnante, sans compter les cas particuliers.

Visuellement, Fable n’a pas à rougir de ses années de service. Les graphismes proposés sont à la hauteur de ce que l’on est en droit d’attendre d’un soft de cette envergure, et font partie des meilleurs affichés sur une Xbox. Les personnages et textures sont détaillés, et même en zoomant, l’aliasing reste discret. Au niveau des textures des décors, elles sont relativement réussies dans l’ensemble, toutefois certaines ont tendance à mettre du temps avant de s’afficher dans certaines zones. L’ensemble reste néanmoins prenant et l’atmosphère qui en ressort est saisissante.

Le héros est particulièrement réussi, autant sur le visuel que sur les animations et les sorts, et la personnalisation de ce dernier par les coiffures et tatouages s’intègre à merveille, sans faire de fausse note. Les PNJ et ennemis ne sont pas en reste, même si le niveau de détail est légèrement inférieur à celui de notre héros. Notons également la présence d’ombre portées, d’herbes flottant au gré du vent, et l’utilisation d’une palette de couleurs assez riche, qui rend Albion si plaisant à parcourir. Je voudrais également tirer mon chapeau à la direction artistique du jeu, qui nous livre au travers des différentes architectures, design des tenues, des armures et des armes, un univers d’une grande cohérence et d’une étonnante richesse.

Un dernier point que j’ai adoré : dès le début de l’aventure, vous serez accompagné, lors de la quête principale, de cinématiques originales sous forme d’illustrations médiévales du meilleur effet, commentées par une voix-off. Dans ce genre de cinématiques, qui nous présentent le sujet sous un angle relativement inédit, on nous raconte une histoire plutôt que d’assister à une vidéo relativement classique, que l’on retrouve également à d’autres moments.

Un autre point fort de Fable, c’est son environnement sonore. Les bruitages sont convaincants et justes en tout point, à l’image de la musique qui vous accompagnera tout au long de l’aventure. La musique a été écrite par le désormais connu Danny Elfman, qui compose entre autres pour les films de Tim Burton. Un gage de qualité et de sérieux. En fonction du lieu, on se retrouve avec un thème joyeux ou ténébreux à souhait, avec pour ma part une mention spéciale aux lieux hantés, ainsi qu’a l’intérieur des portes démoniaques. Une petite réserve toutefois sur la musique des combats qui manque clairement de diversité, et qui restera la même jusqu’à la fin du jeu.

J’aurais apprécié un panel de plusieurs musiques de combat, afin d’éviter une petite lassitude de ce côté-là, même si son ton puissant nous donne l’envie d’en découdre. Le doublage français est également très réussi, et ne souffre d’aucune tare que j’ai pu découvrir. L’absence de voix de notre héros, bien que dérangeante parfois, permet de ne jamais jurer avec ce qu’il devient, autant au niveau de son physique que de son alignement. Dans la grande majorité des interactions, l’humour est omniprésent et rend le titre toujours plus attachant.

 

En conclusion, hormis quelques freezes constatés lors de ce test, que j’attribue à la rétrocompatibilité, j’ai adoré me pencher à nouveau sur Fable, après des années de stationnement dans le placard. L’ambiance visuelle et sonore du jeu se confondent à merveille en un environnement vivant et criant de vérité, mêlant beauté et effroi au gré de vos voyages. La qualité exceptionnelle de la réalisation artistique de ce titre nous livre un univers incroyablement cohérent entre décors, ambiances, objets divers et légendes d’Albion. Un petit bémol pour le scénario de The Lost Chapters qui est clairement sans surprise. Fable est, pour moi, l’un des meilleurs titres RPG de la Xbox, et avec le recul, il semblerait que dix ans après, il reste au dessus de nombreux titres sortis par la suite. Que vous soyez joueur occasionnel ou hardcore gamer, je n’ai plus qu’une chose à vous dire : jouez-y !

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A propos de l'auteur : Ouega

Meeeeeeuh !

5 Commentaires sur “Fable : The Lost Chapters”

  1. Toupilitou dit :

    Il passe encore étonnamment bien sur PC en 2016. Il y a quelques passages bien tordants que j’avais oublié, du genre sur la plage de Bowerstone au début, avec le type qui dit vouloir marier sa fille. C’est typiquement le genre de quêtes ultra-chiantes (faire des multiples allers-retours, du marchand vers le donneur de quête), mais qui passent vachement bien du fait de l’humour ; « alors j’vais te demander un truc con à faire, pour que tu sois (et que tu te sentes) bien con, mais en plus, j’vais te l’dire que t’es con ! ».

    Contrepied sympathique du joueur en train d’accomplir une tâche abrutissante parce qu’on lui a dit de la faire smile

    Du coup, je ne te remercie pas, car j’ai finalement relancé une partie. Maleficus (… ouais, le grand ficus maléfique) est de retour pour semer le vice sur son trajet ! J’ai déjà la mainmise sur le bordel, et c’est déjà un bon début de héros.

  2. Ouega dit :

    Haha ! Tout pareil avec Maleficus aussi pour ma partie de test ! J’avais hésité avec Tartignolle !  » />

  3. Prypiat dit :

    Aaah Fable, un jeu qui a une saveur toute particulière pour moi. Mon tout premier RPG ! <3
    J’ai forcément trouvé mieux depuis, mais on n’a qu’une première fois :p
    Le côté conte de fées fait toujours son petit effet. Même les trucs insupportables sont autant de bons souvenirs ^^
    « Your health is low ! Do you have any potions? Or food ? » ^^

  4. Ouega dit :

    C’est sûr, j’ai découvert que récemment que ce genre d’intervention était désactivable !

  5. flofrost dit :

    D’ailleurs dans le second, quand on apprend que le maitre de la guilde aurait été assassiné et qu’on lui aurait gravé sur le front « Votre santé est faible » je dois avouer que ça m’a fait plaisir ^^


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