À propos

TOUPILITOU

Loutre Parisienne autodidacte et hyperactive, fan de jeux vidéos en tous genres, avec tout de même une préférence pour ceux à forte composante narrative, je butine de jeux en jeux, et je traîne parfois mes guêtres dans des salons ou studios de développement. J’avais intégré la team de RPG France en mars 2014 en tant que correcteur, pour finalement, sur un malentendu, en devenir le président de janvier à mai 2015. C’est sur ce site que j’ai pu faire mes premières armes, à la découverte de l’industrie des jeux vidéo. Au passage, mes remerciements au bureau de l’association pour m’avoir autorisé de publier ici-même une partie des rédactions que j’ai réalisé pour eux.

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Cette expérience, extrêmement gratifiante, m’a finalement mis le pied à l’étrier pour me lancer, en octobre 2015, dans l’aventure de Loutrage, en association avec Marcheur, Ouega et Idx’Art, le brillant illustrateur ayant conçu le logo et toutes les images d’entête farfelues que j’ai pu lui demander jusqu’à présent. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : ne cherchez pas ici de l’actualité croustillante, car nous ne nous amusons pas à courir après le temps qui file. Ne cherchez pas non plus de notes sur les critiques de jeux ; je trouve cela extrêmement réducteur. En bref, vous ne trouverez ici qu’un regard subjectif sur l’industrie du jeu vidéo ! Picq, Flofrost, Prypiat, Crazy-Alice, Étienne Navarre, et Dio nous ont rejoint peu de temps après, mais je vous laisse les découvrir ci-dessous !
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MARCHEUR

 Fan de jeux vidéo depuis mes presque premières heures, il paraissait évident que j’écrirai sur le sujet un jour ou l’autre. Rédacteur sur Loutrage depuis octobre 2015, j’ai décidé pour l’occasion d’écrire sans aucune censure, ni réserves par rapport à ce que je joue. Si j’aime, j’expliquerai pourquoi j’aime. Et si je déteste, je taillerai. Pour l’historique, j’ai écrit pour RPG France de manière très occasionnelle, sous le pseudo Darth Traya. Trois tests, et ce fut tout ce que j’amenais à ce site que je chéris encore aujourd’hui. Quand Toupilitou s’est lancé dans l’aventure Loutrage, et m’en a fait part, j’ai sauté sur l’occasion ; une décision motivée par la frustration de ne jamais avoir pu écrire sur tout ce que je voulais, et de ne jamais avoir eu le plaisir de pouvoir publier, ne serait-ce que de manière épisodique.

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Aujourd’hui je suis ici pour haïr, chérir, donner envie et dégoûter. Mon boulot, c’est d’être le plus sincère possible avec vous. Il se peut que je détruise votre jeu préféré, et que j’encense ce que vous considérez comme une daube. Que voulez-vous, à l’heure où les jugements de presse deviennent plus intéressés que réellement intéressants, j’ai une certaine ambition : offrir à mes lecteurs une vision personnelle sur tout ce qui m’importe dans un jeu. Une subjectivité qui prend le plus de choses possibles en compte, c’est bien ça qu’on appelle l’objectivité, non ?
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OUEGA

Proche d’une loutre qui vous est chère, je suis devenu joueur de jeux vidéo, malgré moi, depuis plus d’une décennie. En contact avec Toupilitou depuis de nombreuses années, je me suis attardé avec lui sur quelques jeux qui nous donnaient du grain à moudre. Novice dans l’art de publier des reviews de jeux, j’ai quand même dans mon bagage vidéo-ludique quelques connaissances apprises ça-et-là au gré de mes diverses expériences. D’abord joueur de FPS et de RTS comme Unreal et Age Of Empires, j’ai par la suite varié mon registre en ajoutant de nouveaux titres et de nouveaux genres à ma ludothèque.

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Partant d’un univers uniquement PC, j’ai également écumé le monde des jeux console, notamment Xbox et 360. Aujourd’hui, je pense me qualifier comme un touche à tout, affectionnant beaucoup de titres, mais peu de genres dans leur globalité. Tous comme mes confrères de Loutrage, je vous fournirai, au fil du temps, des reviews de jeux qui m’ont marqué, qui ont su me surprendre, ou bien me donner la nausée. Ne tentez pas de me demander ce que je pense de la dernière grosse production ; je joue essentiellement à des jeux qui sont datés pour la plupart, mais sans aller jusqu’au retro-gaming.
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PICQ

PicqUn « vieux de la vieille » est dans vos murs ! Presque soixante spires à la bobine ; bientôt l’âge où quand le docteur vous dit « montrez moi vos organes sexuels », vous lui tirez la langue ! Mais, l’œil est vif,  voire inquisiteur, ce qui me donne plus l’aspect d’une fouine que le bon nounours que l’on sert dans ses bras pour s’endormir.  J’ai connu les joies du gamer sur un MZ80k de chez Scharp. Une petite recherche sur Google vous montrera la bête : une révolution à l’époque. Autant dire qu’en ces temps reculés, on ne jugeait pas encore le graphisme, mais le contenu !

Aaaah mon premier jeu, Pong. Vous savez, une barre verticale en pointillé, deux raquettes de chaque côté, et un gros pâté qui se déplace tandis que vous vous évertuez à le rattraper. Il ne manquait plus que le mouvement de la tête de gauche à droite pour ressembler au petit chien qu’on avait sur la plage arrière de la Dauphine ! Puis Space Invaders, et enfin, mon premier Donjon & Dragon avec Chevalier de diamant. Fort de ces premières expériences, l’acquisition d’un puissant Apple II fut une révolution à l’époque, avec des jeux comme la série des Ultima, puis le premier Morowind. Mon intérêt  se fixa très vite vers les RPG.

Une petite escapade vers Age of Empire I et II fut ma première expérience réelle des jeux en ligne. Le plaisir de jouer avec des potes, avec une team. Dix ans de World of Warcraft et ses longues soirées de franche rigolade où les graphismes, malgré tous les efforts des concepteurs, n’avaient aucun intérêt tant les larmes qui coulaient de nos yeux nous empêchaient d’apprécier le moindre décor. Mon jeune compagnon d’arme, la loutre, m’a demandé de vous narrer quelques expériences, ce que je m’efforcerai de faire du mieux… de mes possibilités restantes !
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FLOFROST

floflrostQuelle invention merveilleuse que le jeu vidéo. Je ne sais pas comment je pourrais m’en passer. Faut dire que c’est quand même bien sympa lorsque votre seul autre divertissement, c’est le jour de la douche commune une fois par semaine… Enfin, revenons-en plutôt au sujet qui nous intéresse, à savoir les jeux vidéos. J’ai donc commencé mon voyage dans le monde merveilleux des jeux vidéos avec Pong, plus précisément une console hanimex 7771. Alors là, je vous vois venir ; vous vous dites que j’ai dû passer la date de péremption, ou que je n’en suis pas loin. Et bien que nenni ! (… et merde, c’est pas ce genre d’expression qui va m’aider à vous prouver que je ne suis pas si vieux que ça !)

Enfin bref, j’ai trouvé ça dans un vide grenier, et j’ai chopé le virus en enchainant ensuite avec un paquet de consoles, de la Master System à la Xbox One en n’oubliant pas une grande partie de celles qui sont sorties entre les deux. J’ai une petite préférence pour le J-RPG (même si depuis un petit moment, le genre n’est pas au mieux malheureusement), mais je suis aussi accroc aux jeux de sport, et je ne crache pas sur un bon petit C-RPG, voire un FPS de temps en temps.

Pour ce qui est de ma participation ici, une loutre est venu me voir le jour des visites et m’a promis une remise de peine si je travaillais pour elle. Vous vous doutez bien que je n’ai pas hésité longtemps, d’autant plus que je pourrais travailler à mon rythme. En gros, j’interviendrai quand l’inspiration frappera à ma porte ; autant vous dire que vous risquez de ne pas me voir bien souvent !
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PRYPIAT

 Prypiat« Décrire mon parcours de joueur« , vous dites ? Bon, essayons.

J’ai commencé à jouer au collège, lorsque mes parents ont eu leur premier PC. Je me suis longtemps restreint aux seuls jeux de course, « parce que les autres jeux c’est trop violent et j’aime pas faire du mal aux gens » (sic). Mon tout premier jeu, Beetle Crazy Cup. Courses de Cox et surf-rock endiablé. Comment ça, moi, un hippie ?

Je suis resté coincé là-dessus jusqu’à ce qu’un pote de lycée me corrompe. Doucement d’abord, avec la saga Myst – dont le deuxième épisode a été une énorme baffe esthétique – puis surtout, Fable. Des diapositives en 640×480 (ça ne me changeait pas de Myst), et une révélation. Tout un univers féerique à découvrir et à sauver, des gens à aider, un personnage qui évolue, des choix à faire ! Puis dans ma lancée RPG, vint Fallout 2 et son incroyable liberté d’action, qui m’a fait pisser de rire, passer des nuits blanches et quitter le monde des Bisounours… et me voilà.

Avec le temps, la maturité (… et un certain Silent Hill 2) aidant, je me suis plutôt intéressé au potentiel artistique et culturel du jeu vidéo. Ayant toujours été fasciné par l’art sous toutes ses formes, ce qui m’attire dans un jeu, c’est surtout un univers à découvrir, une ambiance, et / ou une expérience nouvelle et originale. Expérience que j’aime décortiquer, essayer de traduire avec des mots… d’où ma présence ici. Sachez juste que j’écris uniquement sur des jeux qui me « parlent », et souvent après longue maturation – donc rythme lent et pas de « day one ».

Bisous, bande de mammifères.
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DIO

Comme avec Toupilitou nous nous entendions bien sur RPG France, les deux faisant la paire, j’ai rejoint l’équipe de Loutrage en Octobre 2015 pour la chasse à la bestiole. Et comme toute mon expérience vidéo-ludique ne se résume pas au RPG, je me permettrai d’intervenir ici-même, non pas pour chasser la bête, mais pour parler de ce qui me botte, autre que le RPG. Parce que de ce média, j’en ai parlé sur Dagon’s Lair et j’en parle sur RPG France, donc on ne va pas faire doublon. Mais comme il y a d’autres types de jeux que j’apprécie, autant vous en faire profiter ; si cela peut vous permettre d’en découvrir, eh bien c’est tout à fait dans ce but que j’écris des articles.

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Auvergnat et enseignant, défenseur du pauvre et de l’orphelin, je suis aussi rôliste depuis plus de 30 ans, et j’ai participé à la correction de certains RPG papier et jeux de figurines, auteur du jeu de plateau Killpower Ball (toute une aventure), et les BD fantastiques. Je suis avant tout une personne de l’ombre, souvent dans les rouages, un vrai rat de laboratoire.

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CRAZY ALICE

Gameuse depuis toujours, j’ai, malgré mon jeune âge, écumé toutes sortes de consoles, en commençant par la NES. Cette passion a résisté aux nombreux tourments auxquels j’ai été confrontée. La folie est mon antre, et je n’en sors que pour détruire mes ennemis, le Mal, sauver des royaumes menacés, et secourir des princesses en détresse lâchement kidnappées. Je ne m’arrête pas qu’à un genre, et je suis capable de m’adapter à tout.

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Vivant à présent dans un grand bonheur, je commence doucement à partager ma passion, longtemps gardée pour moi. Pour la route, je suis comptable, conseillère funéraire, ambulancière et agente de sécurité. J’aime également les films d’horreur qui me permettent de visionner des univers glauques, sales, dangereux, ainsi que les romans et poésies horrifiques, oniriques… Et le genre survival (entre autre), me permettant de le faire en jeu.

Je connais mes limites. C’est pourquoi je vais au-delà.
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ETIENNE NAVARRE

Véritable loisir de branleur, le jeu vidéo m’a bien entendu très vite attiré. Alors j’y ai joué. De la salle d’arcade au canapé du salon, le plaisir était le même, et les sessions toujours enflammées.

Bon, alors, on peut dire que j’aime à peu près tout sauf : les jeux de sport, les trucs japonais (ne pas confondre avec le turc japonais qui doit sentir à la fois l’ail et le thon), les Sims, les merdes de chez King, les produits faisandés qui sortent en série tous les ans. J’aime GOG (donc beaucoup moins les autres plate-formes), les jeux de plateau, l’alcool, le sexe, le cinéma et la musique (surtout le blues), l’alcool, les EC Comics et le sexe. J’exerce une grosse domination sur Rock Band (basse, guitare et batterie) et dispose d’un sérieux niveau dans ma boite à outils. J’ai pas mal roulé ma bosse sur le net comme rédacteur (cinéma, jeux vidéo) même si je rêve en secret d’être raie d’acteurs, ce qui a peu de chances d’aboutir.

J’aime l’Art, la créativité, la nature et l’expression simple d’une vie honnête et responsable. Je vis de façon engagée, en toute intégrité et essaie, en tant que joueur, de tirer le secteur vers le haut. Ça passe par l’éducation, l’accompagnement et la liberté. S’exprimer librement, consommer avec discernement, encourager des projets intelligents et pertinents. Ouais mec, on peut aimer se gratter les couilles avec le goulot de sa bière et être un joueur citoyen. Attention toutefois à respecter un principe fondamental : c’est celui qui dit qui y est.

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