Salut les gens !

En créant Loutrage, je n’aurais jamais imaginé que l’on y parlerait un jour de certains jeux. En effet, Manitek nous cause de Pinball FX3, un jeu de flipper où les défauts semblent noyés sous les qualités. En réalité, j’ai découvert qu’il y avait même un forum actif avec une communauté tout aussi active autour de ce jeu et des précédents opus ; le monde ne cessera de m’étonner. Pour lire sa critique, avec des morceaux de calembours foireux à l’intérieur, c’est par là : Pinball FX 3

Foireux, c’est effectivement comme cela que je pourrais qualifier Eisenhorn : Xenos, une histoire interactive m’ayant fait une danse du ventre à base de Warhammer 40K pour que je l’achète. Résultat, c’était bien le bon univers, mais emballé n’importe comment, avec des phases de combats inutiles et gonflantes. Du coup, depuis, je me suis acheté les bouquins de Dan Abnett dont ce jeu est tiré, et c’est tout de suite nettement plus bandant : Eisenhorn : Xenos

Bander, je ne sais pas si c’est ce que cela a provoqué chez lui, mais Gelukpa nous avoue ressentir un plaisir coupable en jouant à Adam Wolfe, un mix entre jeu d’aventure et hidden objects game. Comprenez-moi, j’entretiens une pelle spéciale pour ce genre de jeux, et voilà qu’un rédacteur se pointe pour dire qu’en fait ce n’est pas si mal que ça. De là à le qualifier d’étoile, il n’y a qu’un pas que je ne franchirai pas : Plaisir coupable : Adam Wolfe

Effectivement… La phrase précédente est une transition casée légèrement au forceps, puisque c’est au tour de l’ami Andariel de nous parler de StarCrawlers, un dungeon crawlers en mode cyberpunk / space opera chez les Blobbers ; ouais, désolé, cela fait beaucoup d’anglicismes d’un coup. Toutefois, malgré un certain classicisme, il va même jusqu’à le qualifier de meilleur RPG / dungeon crawlers de cette année 2017 : StarCrawlers

De son côté, et bien qu’il ne s’agisse pas d’un jeu sorti cette année, Marcheur évoque la partie solo de Titanfall 2. Une fois n’est pas coutume, cette critique est relativement courte, mais c’est surtout parce qu’il n’a pas grand chose à lui reprocher ; du rythme, de l’action, de la plateforme, avec un gameplay efficace. Ceux qui aiment les FPS un peu vénère qui ne s’alourdissent pas d’un gros scénario peuvent se jeter dessus : Titanfall 2 (solo)

En plein dans sa lancée sur des FPS, il nous parle également d’un Battlefield One qui s’avère aussi qualitatif que les pratiques d’Electronic Arts sont douteuses, à base de micro-transactions couplées à un season pass hors de prix. Toutefois, ceux qui ouvriront la porte de leur compte bancaire à EA sauront malgré tout profiter d’une expérience compacte et complète, ponctuée par des sensations de jeu fabuleuses. C’est lui qui le dit en tout cas : Battlefield One

Fabuleux, je crois que c’est comme cela qu’il qualifierait également Gears Of War 2. Fouaillant ses souvenirs sur ce jeu, il en profite pour revenir sur le studio Epic Games, sur les moteurs Unreal Engine qu’ils ont mis au point, et sur la carrière du bonhomme derrière la saga Gears Of War : Cliff Bleszinski. Si les pavés étaient des déclarations d’amour, je crois que l’on pourrait considérer Marcheur comme l’un des plus grands poètes romantiques de notre ère : Les années 360 : Gears Of War 2

Pendant qu’on y est à parler de pavés, je déclare que la semaine prochaine sera dédiée à ce thème. En effet, étant donné que votre humble serviteur a fait partie du jury des Ping Awards pour la catégorie des jeux étudiants, vous aurez droit à un topo détaillé de la cérémonie et de ces fameux jeux étudiants. Puis Marcheur évoquera très longuement Elex, le dernier Action RPG des allemands de Piranha Bytes qu’il considère comme du pain béni. Enfin, c’est à travers une critique à quatre mains de Middle-Earth : Shadow Of War que nous saurons (Hey ! saurons… Sauron… Sau… Ahem) parler d’un jeu que j’ai obtenu gratuitement et que je n’attendais pas, alors que Gelukpa l’attendait et l’a payé au prix fort.

D’ici là, bonne(s) lecture(s), et n’hésitez à vous inscrire à notre système de curateur Steam !

La Loutre